2005/03/23

Ne pas regner son passé pervers

Liam Howlett de Prodigy disait à propos de ce morceau que c'était de la merde, qu'il le regnait, que c'était du sous Prodigy caricaturé. Soit... Mais en pondant un album aussi redondant et lourd que son dernier, il aurait peut-être du revenir à ses amours pervers teinté de Rhohypnol. C'était en 2002, et Prodigy refaisait parler d'eux avec ce maxi qui veintait les effets de cet anxiolitique surpuissant (Lexomil à côté c'est de la tisane), plus communement appelé drogue du viol. Une traduction du titre donne ca : cette fille devient chaude, merci à qui, merci au Rhohypnol ! Hautement subversif, hautement pervers, hautement pour ce blog. Le morceau en lui même est un redit de l'album Fat of the Land (avec une allusion à Firestarter), il est lourd mais tellement tendancieux qu'on oublie vite ses erreurs.



Rhohypnol pour Clubbers malsains : Prodigy - Baby's Got a Temper