Tous Européens
J'avais décidé de parler des doors et d'une reprise live "explicit lyrics" d'un tube mais actualité oblige j'ai envie de parler Europe. Enfin c'est plutôt l'ancien groupe d'Arno : T.C. Matic qui s'en charge. Titre déjanté tiré de l'album "Choco" : pro européen et par derrière. Le morceau a pas perdu une ride, une production plus actuelle aurait pu faire croire à un !!! belge ! OUI ou NON,
"PUTAIN PUTAIN c'est vachement bien, nous sommes quand même tous des Européens", alors toi le bourgeois ravale ta larme, le fascho va écouter sardou et le revolutionnaire lache ce remix de "che guevara" pour du pur produit belge. A consommer à cinq degré, j'adore coco !
Leçon d'Europe pour retardataires : T.C. Matic - Putain Putain
Musique pour femme seule et homme affamé
Bashung nous parlait des rêves de madame il y a quelques temps
ICI, il revient nous parler du grand voyageur qu'il est. Toujours tiré du brut "Osez Joséphine", plume asséré pour blues étiré. De port en port, de femme en femme, harmonica à la bouche et regard braqué sur la route. Au fond d'un rade, il nous raconte ses récits captivants, le blues s'enfume, la bouteille remplace le bottleneck et le téléphone sonne dans le vide.
Et toi... à quatre pattes...
Blues collant pour road trip : A. Bashung - Les Grands Voyageurs
Freak
On approche du week-end,
"This is goin' to make you freak", clip pervers réalisé par le sud-africain Daniel Lévi pour LFO avec seulement Mark Bell aux commandes. LE tube de l'année 2004, imparable en club, chez soi, d'une ingénionisté et d'une complexité rare pour un morceau dance-floor. Le clip en parfaite adéquation met en valeur le côté insidueux et malsain de la musique, renvoyant à l'idée de transe et de posséssion. Une prouesse technique (plus de 180 plans !) au service d'une musique exceptionnelle, une tuerie à rendre taré. Freak est le morceau idéal avant l'apéro de ce soir, froid comme un glaçon d'amour chimique.
Images dérangeantes pour Monstres sous influence : LFO - Freak (Clip)
Tube pour Taré : LFO - Freak (mp3)
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Lesson 666 : le riff pervers
Pervertir : Transformer, changer en mal ; corrompre / Alterner la fonction normale de ; dénaturer © Larousse.
Riff pervers : Riff qui transforme la nature de son auditeur, le change en mal ; Alterne son comportement. © Dr Gonzo.
C'est au tour de Pantera et ses cowboys de l'enfer de passer de la théorie à la pratique.
"We're taken over of this Town" disent-ils ! Rarement on a vu un groupe de trash métal groové autant, ce riff provient de l'enfer. Pas un enfer chiant où tu te fais piquer les fesses au fer rouge, plutôt un enfer gorgé de chaines et de femmes lascives. Les cowboys arrivent en ville, Hell's Angels modernes se ruant au bar, abreuvant de ce riff pervers les citadins coincés. Chevauche le premier truc qu'il te passe sous la main, pousse ton ipod dans ses retranchements et laisse toi corrompre. Tu es quelqu'un d'autre, du riff coule dans tes veines.
Riff pervers pour Cowboy débutant : Pantera - Cowboys From Hell
But, how many licks ?
On en parlait recemment sur le forum d'Institubes, en l'an 2000 serions-nous passé à côté d'une bombe rap, acide et perverse, portée par les petits bras de la non moins vulgaire Lil' Kim ? Tant il est vrai que cette demoiselle, ex compagnon de feu Notorius B.I.G ne semble pas être d'une grande intelligence, plus prête à montrer ses attributs et son mauvais phrasé rap que ses talents d'artistes. Or, son tube "How many licks" est une petite perle de club, renforcé par la présence de Sisqo (le mec de la chanson des strings...
"Girl I know you wanna show da na da na / That thong th thong thong thong") et surtout de ce remix fou des Neptunes.
Je vous épargne les paroles et le clip de mauvais goût, on est mercredi c'est le jour des enfants. On passe à l'école en merco benz, on fait briller le bling bling puis on les ramène chez leur grand-mère. On passe prendre cette petite Kim, et on s'occupe d'elle...
Acid Track pour Club de Luxe: Lil'Kim f/ Sisqo - How Many Licks
Remix pour relever le goût : Lil' Kim f/ Snoop Dogg & Lil' Cease - How Many Licks (Neptunes remix)
I wanna lick you too much
Dernier album de QOSTA (Lullabies to Paralyse) sans Nick Oliveri, mais comme s'était Josh Homme qui tenait la baraque, c'est reparti. Reparti ? Pouaaah, combat au corps à corps sur un lit en flammes, sueurs mêlées dans des gémissements tourbillonant dans les pales du ventilo. Chaleur insoutenable et chairs à la vue d'un lézard au regard sous peyotl, Josh nous donne une leçon de savoir-faire stoner. La tension est palpable, le désert l'a bien comprise, Josh maîtrise son sujet sur le bout de la langue, prend son temps, se retient et domine la pièce de ses plaintes. Rampe tel le serpent, entoure sa proie et écoute son dernier souffle.
Production autant impecable que riche et dégueulasse. Un grand moment de cet album, le diable s'émisse entre les lattes du lit.
"I sneak around from behind
I got a one track mind"
Sexe pour Stoners : Queens of the Stone Age - Skin on Skin
Cybersex en combinaison latex
Début de semaine nostalgique, il fait trop froid pour se projeter jusqu'à vendredi, retournous en 2000 et oublions un instant le virage eurocrunk de TTC pour la mixtape culte : "L'antre de la folie". Le son a un peu vieilli (Flash à la prod, qui vient de sortir un CD mixé de musique chaude) mais le texte d'un fantasme de réalité si troublante, qu'une goute de sueur coule en 56K sur notre front. "Le sexe c'est le pouvoir", et rappel toi on les maitrisait ces saloperies de fenêtres pop-up qui s'ouvraient de partout. Nerd attitude pour son pervers, stick allumé et yeux explosés en CRT, reprend ta solitude en main et télécharge de l'autre ce bout d'histoire choppé sur audiogalaxy.
"J'allume un gros stick / Et on passe à la pratique"
Tekilatex en solo pour plaisirs solitaires : Tekilatex - Sexe, Mensonge et Jeux Vidéos
I drink the honey inside your hive
Trent est de retour par ici, encore en vidéo et c'est pour notre bien. Exemple parfait de la musique perverse qui nous fait bouger comme des vampires en quete de chairs fraiches, yeux exorbités, esprit diminué, le diable ayant buté l'ange au dessus de nos épaules. I wanna fuck you like an animal ! I wanna feel you from the inside ! Tu m'étonnes ! La chaleur revient, ca va sentir la bête industriel dans nos foyers, viandes humaines élevées en basse-cour, hop direct dans la ferme avec la baronne. Plus proche de dieu ou de l'animal ? Help me ! Ce soir les portes des chambres vont claquer, libérons les fauves.
Quelques idées à visualiser pour informations : Nine Inch Nails - Closer (Clip)
Perversion industrielle pour pervers industriel : Nine Inch Nails - Closer (Mp3)
En cas de problème de lecture de la vidéo, téléchargez : VideoLan
Who is afraid ?
Encore une signature Gigolo sur ce blog-jeu, sauf que ce maxi "Voodoo Kit" de Plastique de Rêve est sorti sur un autre label... Le revival acid n'arrête pas d'envahir le dance floor, accompagné cette fois ci d'un petit chant rappé d'une fille qui en veux (ou qui aime les remix de Tiga). C'est sympa, on se dit qu'on va pas s'ennuyer ce soir, surtout avec la remontée d'acide vers la fin du morceau lente et drogué comme dans ces bons vieux morceaux de Phuture, Armando ou Josh Wink. La petite touche sexuelle en plus, qui a dit Lil' Louis ? Finalement pas un morceau à casser des briques mais c'est sorti y'a quelques semaines, alors on ressort sa TB 303 et on la lèche jusqu'à se qu'elle gueule...
Ne pas être effrayer pour goûter à son amour : Plastique de Rêve - Don't be Afraid
Zen fascists will control you
Impossible de faire un choix, ce groupe est tellement incroyable que toute sa discographie devrait figurer ici. S'il faut retenir qu'un morceau, ca serait le sarcastique et pervers "California Uber Alles", qui leur a vallu tant de problèmes. Comparer le gouverneur californien (de l'écurie Reagan) à un certain dictateur du IIIe Reich avec de nombreux détails qui "tuent", n'a pas amusé l'interessé... Cela nous rappelle que les 80's étaient parfois bien plus subversives qu'aujourd'hui (où sont passés les successeurs des DK's, Suicide, TG, Big Black... ?) alors que le "zen fascisme" conté par Jello Biafra est toujours d'actualité, aussi appelé par feu Hunter S. Thompson : le 6e Reich. En attendant l'émeute (cette incroyable défonce, comme disais J. Biafra), rêvons à une scène musicale qui se réveillerai autrement que dans l'altermondialisme hippie !
"Close your eyes, can't happen here
Big Bro' on white horse is near
The hippies won't come back you say
Mellow out or you will pay"
Sarcasme pour Républicain : Dead Kennedy's - California Uber Alles
Girl, I think you're hot
On avait quitté Rick James nous parlant de son gun d'amour :
"Bang Bang" ; en a t il fait bon usage ? "Ca les livres d'histoires ne le disent pas..." Nous le retrouvons encore en bonne compagnie, une fille au sang froid qui lui resiste ! Du désir, de la tension, de la retenue, du sang froid... Jolies ingrédients pour un morceau funk 80s bien pervers ! Froideur de la production alliée à la tension sexuelle de Rick James et sa basse. Le slap claque comme sa manière de dire DICtionnary (jeu de mot bien vulgaire, mais on lui pardonne), ou comme on l'imagine une fessée furtive pour tenter de rechauffer cette fille... Oui c'est de mauvais gout ! Mais c'est fait avec tellement de talents qu'on en redemande jusqu'à parvenir à ses fins.
Le regrétté ODB l'avait reprise sur l'album N***a Whut, bien crade. Ces deux artistes sont morts en 2004... RIP !
Rick James pour tester son sang froid : Rick James - Cold Blooded
Bondage !!!!
1977 la scène punk explose, en Angleterre émerge un de leur meilleur représentant sous le nom de X-Ray Spex, mené par la chanteuse Poly Styrene. L'hymne qui les fait connaitre est celui sur le bondage, mais c'est une forme ironique, voire sarcastique que prend Poly. En effet, pas de désirs, juste une constatation sur la condition féminine : reléguée en saucisson humain pour le plaisir des hommes et ligotée par la consommation et la société. Soutenu par un saxo fou, c'est un morceau anthologique, à prendre avec des pincettes (à tétons...)
Punk et sax pour ligoter les hommes : X-Ray Spex - Oh Bondage Up Yours!
Te regarder sur l'écran
Dopplereffekt, personnage discret reclue dans sa Motor City, avant de se retrancher dans l'electro barré, avait sorti en 1999 sur le label Gigolo Records, une compilation de ses morceaux (Gesamtkunstwerk). Album pas si facile à trouver mais hautement recommendable, d'une paranoia pré-apocalyptique, ce cher Doppler s'intérroge sur la société, le sexe et la science (et les trois mélés). Je vous propose ici deux morceaux portés sur le sexe, mais j'y reviendrai plus tard pour parler de stérilisation de masse ou autres interrogations scientifiques. Sonorités organiques et oppressantes, on se retrouve recroquevillé sur soi même, seuls les faisceaux de la télé éclairent nos pratiques chirugicales cachées dans la pénombre d'une chambre donnant sur une friche industrielle. Oui, moi aussi je veux être une star du porno et baiser des mannequins.
SANS ISSUE
Mannequin pour prédateur de masse : Dopplereffekt - Plastiphilia 2
Rêves pour téléspectateurs de nuit : Dopplereffekt - Pornoactress
Un soir avec Frankie
Le tube de décadence gay de l'année 1983, improbable explosion dans les charts pour une chanson qui parle de retenir son éjaculation... (comprendre : When you wanna come = When you wanna cum). Clip censuré, mélange d'une boite homo de New York avec l'imagerie de la décadence romaine à la Caligula. Tout ca pourrait passé pour une vaste plaisanterie de mauvais goût, sauf qu'aux commandes on retrouve le producteur pop synthétique de luxe : Trevor Horn. Producteur au son énorme des plus ou moins mauvais : Yes, Tom Jones, Pet Shop Boys, Rod Stewart... et plus proche de nous, la grande arnaque faussement lesbien : T.A.T.U.
N'ayez plus peur, vous connaissez ce titre par coeur, gueulez le pour faire flipper vos amis. "hennn il est (vraiment) gay car il aime ce son", c'est ca et t'es un gangsta quand t'écoute 50cent ?
Décadence gay pour fantasmes inavoués : Frankie Goes To Hollywood - Relax (Clip)
Se détendre pour ne pas le faire : Frankie Goes To Hollywood - Relax (Mp3)
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Mon sang est trop épais pour le Nevada
Quatre albums proche de la perfection et un (si ce n'est) le groupe de rock le plus influent et important de ces 10 dernières années, Queens Of The Stone Age oscillant entre stoner, pop et rock sont tes nouveaux amis qui partagent tes soirées passées sous la lumière rouge d'un plot protecteur et accoudé à un cactus géant. Hommage à Nick Oliveri, bouté hors du groupe l'année dernière pour des raisons de drogues (à la limite de la performance pour un groupe "stoner"), membre le plus pervers, qui vient nous compter comment il recherche la compagnie de filles trop jeunes. Ca pue la rue, le sable, la bière déséché et le cactus ingéré. Godam ! wooooooooooooow
Nick Oliveri pour un soir : Queens Of The Stone Age - Quick And To The Pointless
Glam
Inutile de présenter le groupe T.Rex, fer de lance de l'éphemère Glam Rock. Du cuir, du boogie, beaucoup d'attitude et du sex. Hein quoi ? Ah oui Rock 'n Roll ! Marc Bolan nous parle de sa copine qui est sale et douce, on va pas le contredire, on va plutot le gueuler dans la rue en direction de sa source de houblon favorite. Laissez vous porter par ce boogie crade et remuez votre booty en conséquence.
Glam Rock pour Rock Star : T.Rex - Bang A Gong (Get It On)
Post Coitum dans la savane
A la recherche de la perversion, petit tour chez ce bon vieux Claude Debussy compositeur d'impressionisme musicale (fin 19e, début 20e) et du "Prélude à l'après-midi d'un Faune" dont nous allons parler. Imaginez vous tel le roi de la savane après avoir mangé une bonne gazelle et rendu "hommage" à la lionne qui vous a servi votre repas, par un coït fou de 35 secondes. La chaleur est accablante, les mouches volent et la sieste en ce lourd après midi tend le bout de son nez. Voici pour la version animale. Mais une transposition à la fin d'un banquet, d'une Dyonisies ou d'une orgie romaine procure la même contemplation post-coïtum : mi-assoupi, mi-stupide. Debussy révèle parfois l'imagination au-delà de la sienne.
Après débat, je dois relever que ce post a un caractère experimental, tentant de trouver de la perversité dans la musique classique et se basant aussi sur le fait que le mot "faune" renvoie à nature et inconsciemment à "fauve", donc à savane ! Mallarmé me pardonnera, quoi que son poême a de forts relents érotiques.
Et n'oubliez pas les enfants : il ne faut pas abuser de l'imagination ! (Voir la très perverse série Wonder Showzen diffusée le Samedi et le Lundi à 22h10 sur MTV, on en reparle bientôt...)
Musique contemplative pour orgie élégante : Claude Debussy - Prélude à l'après-midi d'un faune (dirigé par Bernstein)
I'm fuckin' nasty, and that's the way I am !
Ces groupes fraichements débarqués des maisons de disques qui envahissent les chaines musicales vous rendent violents ? Suivez les conseils de dj Gasp qui se rappel ses booms (vraiments) gays de 3e, et choppez moi ce foutu titre pervers de dj Rush. Respectez ce putain de freak qui pense qu'à baiser tout ce qui bouge ! Ca sera toujours plus constructif que d'écouter les nouveaux concepts surréalistes des majors cyniques. On est lundi, on a la rage, on veut du sexe ! We just don't give a fuck !
House gay moite pour hétéros nostalgiques : DJ Rush - Freaks On Hubbard
Tes mains autour de mon coup
Une collaboration entre Death in Vegas et le groupe Adult pour les mérites de la douce strangulation, celle prodiguée avec consentement. C'est vendredi soir, donc comme dirait ce Raoul Duke : "Yeah, why not..." Toujours une production pour la mort à Vegas calme mais efficace, insidieuse et forcement subtilement subversive. Le clip (pourtant soft) a été censuré, à croire que les gens du CSA étaient trop décu de voir que ce tunnel de la rue Watt (75013 Paris) n'était pas aussi peuplé ! Plaisir et étouffement, à vos risques et périls.
Experience audiovisuel pour pratique manuelle : Death in Vegas - Your Hands Around My Throat (Clip)
Experience sonore pour pratiquer les yeux fermés : Death in Vegas - Your Hands Around My Throat (Mp3)
En cas de problème de lecture de la vidéo, téléchargez : VideoLan
Catalyseur minimal
Si l'incertitude vous gagne et que la parano reprend ses droits, ecoutez ce morceau de Plastikman (pseudo de Richie Hawtin) pour vous persuader de l'authenticité de vos questionnements. Le climat étrangement froid mais sournoisement groovy pousse à contempler son plafond blanc les yeux exorbités. Seul un orteil ose encore bouger possédé par le pied pervers. "I Don't Know" revient et tombe comme une évidence, ce titre est de la perversion minimale. Mention : orienter l'auditeur dans la mauvaise voie.
Homme en plastique pour pensées en toc : Plastikman - I Don't Know
Voluptés au 44
Gainsbourg, presque toute sa discographie devrait figurer ici, mais c'est à la réecoute de son album concept "Melody Nelson" sorti en 1971, qui me pousse à parler du Maître. Peu de perversion au niveau des paroles, mais un érotisme à fleur de peau, des arrangements sublimes écris de sa main et un son rafiné. Les violons laissent notre imagination divaguer aux voluptés comises dans cette chambre N° 44. Passez la porte, un dandy vous y attend.
Chambre 44 pour auditeur averti : Serge Gainsbourg - L'Hôtel Particulier
Come on baby, let's go to work
Cela fait plus de 10 ans que le Jon Spencer Blues Explosion joue du pur rock 'n roll bluesy décapent, bouillant comme l'Enfer. La méthode est simple : trio de rocker (des vrais pas des NME-Pute) aux cheveux crades et pantalons courts, Whisky-Voice garantie pleins de "Huh !", "Sock It to Me !" et de "Yeah ! wock 'n woll". Difficile de choisir un morceau dans ce "ACME", tous on été testé mainte fois dans des situations chaudes et ont passé le test Dr Gonzo avec succès. Un album pour ton bar favori, un groupe pour ton lit sauvage, des chansons pour t'accompagner jusqu'en Enfer.
Blues et cui(v)re hurlants pour nuit explosive : The Jon Spencer Blues Explosion - Get Down Lover
We don't no water, I'm about to fucking cum... !
Je vous présente cette coquine de Princess Superstar, rappeuse qui n'a pas froid aux yeux et qui est venu tater le dancefloor avec Disco D. A croire que cette rencontre à été explosive, vu l'hymne scabreux à la gloire des dj's qui en est sortie. Malgré l'offensive rock de ces dernières années, les djs sont aussi des stars et toutes groupies amatrices de starfucking se doit d'honorer la (feu) décadence pop (contrairement à ce qu'en pense ironiquement Princess Superstar et Alexander Technique pendants leurs sets de "Dj's are not rockstar"). "Allez, laisse moi entrer je connais le DJ !" C'est çà et moi : Last night a DJ saves my life... ?
Booty-Hymne moite pour clubbeuse groupie : Princess Superstar f/ Disco D - Fuck Me On The Dancefloor
